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مساهماتي : 5235 تاريخ الميلادي: : 01/07/1991 تاريخ التسجيل : 22/07/2009 عمـــري: : 33 الموقع : www.univ-batna2.alafdal.net
| موضوع: maitrise de risque industriele الجمعة 24 ديسمبر - 17:35 | |
| L’ensemble de la formation a été construit autour de 8 modules répartis sur 5 mois soit un volume total de 522 heures parmi lesquels un module constitué d’une série de 7 « immersions » sur des sites opérationnels (MD7).
Répartition par modules et rubriques – Répartition horaires et ECTS MD1 : Maîtrise des risques et sûreté de fonctionnement : 63 heures ; 4 ECTS MD2 : Risques professionnels et droit des risques: 54 heures ; 4 ECTS MD3 : Génie des procédés et sécurité des procédés : 57 heures ; 3 ECTS MD4 : Maîtrise individuelle et collective des risques et ergonomie : 72 heures ; 4 ECTS MD5 : Gouvernance des risques et veille économique : 81 heures ; 4 ECTS MD6 : Psychologie des risques et comportement des acteurs : 72 heures ; 4 ECTS MD7 : Travaux dirigés sur le terrain (immersions) : 84 heures ; 7 ECTS MD8 : Séminaires et visites de sites : 39 heures ; 0 ECTS
Ces cours se répartissent en :
MD1 à MD6 : Cours magistraux et travaux dirigés ou études de cas MD7 : Mises en situation sur le terrain (immersions) MD8 : Séminaires spécialisés et visites de sites
MD1 : Maîtrise des risques et sûreté de fonctionnement [ haut de page ]
MD1.1 : La sûreté de fonctionnement Intervenant : Guy Planchette (18h) Ce cours est destiné à présenter les principes généraux et les méthodes de la sûreté de fonctionnement. Il débute par un historique de la sûreté de fonctionnement, une réflexion sur la notion de risque et sur les causes des accidents. Le cours se poursuit par l’étude de la démarche de maîtrise des risques :
le management des risques les stratégies de contrôle et de maîtrise des risques la défense en profondeur Les quatre composantes de la sûreté de fonctionnement sont ensuite analysées : fiabilité, maintenabilité, disponibilité et sécurité. Des notions de statistiques et de lois de probabilité sont présentées : association des fiabilités de sous-systèmes, tests et Intervalles de confiance.
MD1.2 : Etude des processus de la maîtrise des risques Intervenant : Jean-Luc Wybo (27h) Ce cours est dédié à l’analyse des différents processus qui forment un système de management « hygiène, sécurité, environnement » tel que ceux que l’on rencontre dans l’industrie. Ces processus, qui forment une boucle de progrès continu, sont : l’anticipation, la vigilance, la gestion des situations de routine et d’incident, et enfin le retour d’expérience. Une attention particulière est portée sur les méthodes qui permettent le développement d’une culture de sécurité, notamment par l’appropriation par les acteurs des tenants et aboutissants des situations de risque. Deux séances de travaux dirigés sont intégrées au cours pour faire pratiquer aux élèves deux de ces processus : l’anticipation et le retour d’expérience.
MD1.3 : Méthodes d’analyse des risques Intervenant : Henry Londiche (12h) Le cours aborde tout d’abord les risques technologiques majeurs, la perception des risques, les seuils d'acceptabilité du risque et la mesure du risque (courbe de Farmer, FAFR). On aborde ensuite les différents thèmes, avec des études de cas : L’étude de sécurité : description du système étudié, objectifs d'une étude de sécurité, principe et démarche d'analyse itérative (roue de Deming). L’approche systémique des risques : l'analyse systémique, le modèle MADS du processus de danger et la méthodologie MOSAR. L’analyse et évaluation des risques : les méthodes d'identification (APR, AMDEC, HAZOP), les méthodes d'analyse par arbre logique, les arbres de défaillances: principes, concepts, calculs, exemples et application avec le logiciel Simtree. L’étude des conséquences: la perte de confinement (débit à la brèche, dispersion de gaz toxique, relation dose-effet) ; les explosions et l'incendie, le BLEVE, l’explosion de gaz en milieu non confiné.
MD1.4 : La défense en profondeur Intervenant : Emmanuel Garbolino (6h) Deux thèmes sont abordés dans ce cours : Ce cours aborde l'histoire du concept de défense en profondeur, sa formalisation pour la maîtrise des risques dans les centrales nucléaires et ses évolutions. Il explique aussi les motivations de sa transposition dans l'industrie et présente une méthodologie pour son application dans l'industrie, notamment à l'aide d'un exemple concernant une Installation Classée pour le Protection de l'Environnement. Le cours présente ensuite les grands principes de la systémique et, plus particulièrement, de la dynamique des systèmes appliquée à la maîtrise des risques industriels. Une étude de cas permet de comprendre l'articulation entre modélisation dynamique d'un système industriel et analyse des risques permettant ainsi de formaliser une méthode dynamique d'analyse des risques. Méthode d’évaluation du module MD1 Examen de contrôle en fin de cours et deux études de cas.
MD2 : Risques professionnels et droit des risques [ haut de page ]
MD2.1 : Risques professionnels Intervenant : Philippe Bielec (21h) L’objectif principal de ce cours est d’apporter aux étudiants une connaissance suffisante de la thématique des risques professionnels afin qu’ils puissent dans le cadre de leur future fonction prendre des options qui garantissent la santé au travail des salariés. Le cours est structuré autour de trois objectifs secondaires :
Le repérage dans l’entreprise des enjeux humains, sociaux, économiques et juridiques de la santé et de la sécurité au travail : historique de la prévention ; définitions des AT/MP, gestion et coûts du risque, documents réglementaires responsabilités de l’employeur, directives cadre, principes généraux de prévention ; les rôles des différents acteurs. L’évaluation des risques : identification, évaluation, actions de prévention ; risques principaux ; risques émergents. Une mise en pratique : étude de cas réels ; recherche de cas et présentation commune ; simulation de CHSCT extraordinaire. MD2.2 : Facteurs psychosociaux ; le stress dans l’entreprise Intervenant : Wim Van Wassenhove (6h) Les Facteurs Psycho Sociaux (FPS) apparaissent depuis une dizaine d'années comme à l’origine d'un des nouveaux risques majeurs auquel les organisations et entreprises vont devoir ou doivent déjà faire face. Le plus récent rapport de l’Observatoire européen des risques de l’Agence européenne de santé et de sécurité au travail (AESST), confirme que les importants changements survenus dans le monde du travail ces dernières décennies ont entraîné l’émergence de risques nouveaux dans le domaine de la sécurité et de la santé au travail : les risques psychosociaux. A côté des risques physiques, biologiques et chimiques, ils apparaissent comme majeurs. Ces risques psychosociaux font référence à de nombreuses situations : stress, harcèlement moral, violence, souffrance, suicide, dépression, troubles musculo-squelettiques, etc. Selon le rapport de l’agence, les aspects sociaux, et le stress au travail en particulier, sont considérés, avec les agents chimiques cancérogènes et la sécurité, comme les facteurs de risque les plus importants pour l’avenir. Une abondante littérature témoigne de l’activité de recherche dans le domaine, plus particulièrement, dans les pays nordiques et anglo-saxons. La nature de ces recherches est très diverse, comprenant des études biologiques et physiologiques, épidémiologiques et psychologiques. Le cours propose une introduction approfondie de cette problématique actuelle. En introduction, des statistiques, la réglementation et l'attention actuelle aux FPS sont présentées. La deuxième partie présente des approches, modèles et définitions ; le concept FPS est mis en perspective par rapport aux modèles de danger/risque classiques. La troisième partie aborde la problématique d'évaluation et la prévention du stress au travail. La dernière partie du cours traite deux méthodes spécifiques et permet une mise en situation. Des supports audio visuels sont utilisés pour illustrer les cours.
MD2.3 : Risque et société Intervenante : Geneviève Baumont (9h) En première partie l'historique, les concepts relatifs à la perception des risques sont présentés ainsi que la liste de critères qui formatent les représentations des risques dans la société. Différents guides méthodologiques existants pour prendre en compte les relations avec la société sont présentés. Les résultats d’enquêtes de perceptions des risques (par exemple le baromètre des risques de l'IRSN) sont commentés. Enfin les différentes définitions de la gouvernance sociétale des risques proposées par la communauté des chercheurs dans ce domaine sont discutées afin que les étudiants puissent percevoir les enjeux à différents niveaux.
MD2.4 : La réglementation des risques Intervenante : Valérie Godfrin (18h) Ce cours présente le contexte réglementaire s’imposant à l’entreprise au regard de ses impacts externes, c’est-à-dire de ses répercussions sur l’environnement. L’environnement, telle qu’entendu par les législateurs communautaire et national, est envisagé dans un sens large puisqu’il fait référence aux espèces vivantes et à leurs relations et interrelations, formant un système complexe. En conséquence, toute activité humaine est considérée comme générant des effets environnementaux contre lesquels le droit met en place un dispositif en vue de les limiter ou de les éviter. L’intervention s’articule autour de trois grands thèmes :
Structuration du droit de l’environnement et orientation du dispositif légal de protection des milieux naturels et de réduction des nuisances ; Modalités d’encadrement des activités susceptibles de créer des nuisances voire des risques (pouvoirs de police générale et spéciale). Assurance des risques technologiques. Méthode d’évaluation du module MD2 Examen de contrôle en fin de cours et un travail dirigé consacré à la veille réglementaire.
MD3 : Génie des procédés et sécurité des procédés [ haut de page ]
MD3.1 : Introduction au génie des procédés Intervenant : Daniel Toueix (24h) Ce cours est destiné à fournir aux étudiants une introduction aux méthodes et outils du génie des procédés pour l’analyse de risques industriels, notamment :
Les bilans de matières sans et avec transformation de la matière. Les bilans énergétiques sans et avec transformation de la matière. Des éléments de thermodynamique et de cinétique des réactions. Température de réaction adiabatique et puissance de refroidissement. Les transferts thermiques. Conduction. Conduction. Rayonnement. Les échangeurs de chaleur. Calorifugeage des tuyauteries. La dynamique des fluides. Pompes et conditions de fonctionnement des pompes. Risques liés à la cavitation des pompes. MD3.2 : Sécurité des procédés industriels Intervenant : Laurent Perrin (18h) Ce cours a pour but d’enseigner l’ensemble des dispositions à prendre à tous les stades de la conception, de la construction, de l’exploitation et de l’arrêt d’un procédé dans le domaine de la prévention et de la protection des risques. Ces dispositions sont étudiées au travers : des différentes législations existantes, des méthodologies utilisables (Analyse Préliminaire des Risques, Arbres des Causes, Méthode HAZOP, etc.), des connaissances de bases associées (feux, explosions de gaz et de vapeurs, explosions de poussières, emballements thermiques, dispersion atmosphérique, etc.).
MD3.3 : modélisation des risques majeurs Intervenant : Christian Foussard (12h) Cette intervention présente des thèmes récurrents pour qui exerce la maîtrise des risques au sein d’ingénieries ou de cabinets de conseil en risques industriels et environnement. Les exposés s’appuient sur une expérience de grands projets dans les secteurs pétroliers, chimiques, énergétiques et pharmaceutiques. Un soin particulier est apporté à illustrer la nécessité d’une bonne appropriation des notions théoriques afin de pouvoir déployer efficacement des outils de maîtrise des risques pertinents. Atmosphères Explosives L’objet du cours est de présenter un cas pratique de mise en application des directives ATEX au sein d’un groupe pétrolier. Après un rappel des notions physico-chimiques essentielles à la compréhension du sujet, la méthodologie d’évaluation des risques est exposée telle qu’elle a été déployée. Les enjeux de la maîtrise de l’urbanisme L’objet du cours est d’exposer les enjeux de la maîtrise de l’urbanisation autour des sites industriels à travers l’exemple de l’accident de Buncefield et dans le cadre des PPRT. Pollutions Atmosphériques L’objectif du cours est de donner les principaux éléments de compréhension des pollutions atmosphériques, de présenter quelques aspects de la modélisation et des exemples de modélisation (Rejets toxiques, pollutions chroniques).
MD3.4 : introduction à l’ingénierie de la résilience Intervenant : Eric Rigaud (3h) L'objectif du séminaire "Introduction aux management de la résilience" vise à présenter les principes fondamentaux du management de la résilience comme modèle de management de la sécurité. Cette approche considère le management de la sécurité comme le résultat de deux logiques d'actions à la fois complémentaires et antagonistes : le management des risques et le management de l'incertain. Les principes de cette approche originale seront décrits puis les premiers acquis de conception de solution méthodologiques et technologiques seront présentés. Méthode d’évaluation du module MD3 Examen de contrôle en fin de cours et étude de cas.
MD4 : Maîtrise individuelle et collective des risques et ergonomie [ haut de page ]
MD4.1 : La conduite des systèmes à risque Intervenants : René Amalberti et Claude Valot (30h) L'industrie, au sens le plus large, est une construction humaine. Elle comporte des processus à risque qui sont, à la fois, sa raison d'être (à des fins sociales et économiques) et la source de dangers dont il faut se protéger (dans un contexte sociétal). Cette maîtrise est fondée sur la technologie et sur l'activité humaine. L'action humaine est donc omniprésente et multiforme : elle participe à la création du danger (Transporter des passagers à bord d'un plus lourd que l'air, dans un milieu où la physiologie humaine ne peut s'adapter) et à son endiguement par la maîtrise technique et les compétences humaines. Ce dispositif n'est pas sans failles. Tout au long du processus d'exposition au danger et de protection, que ce soit individuellement, collectivement ou d'un point de vue organisationnel, le facteur humain est déterminant. La compréhension des compétences d'adaptation humaine pour la gestion des risques est importante à la fois pour la conception des activités, pour l'établissement des interactions entre individu et organisation et, enfin, pour l'analyse a posteriori, des événements. Le cours propose donc un parcours allant des bases du fonctionnement humain en termes cognitifs et émotionnels jusqu'à une lecture organisationnelle de la gestion des risques. Sont également décrits les modèles d'analyse, les outils et les politiques disponibles pour promouvoir, et entretenir, une gestion de risque, adaptative intégrant les caractéristiques du fonctionnement humain
MD4.2 : Ergonomie Intervenant : Jean Marion (30h) Le cours porte sur la santé au travail et l’initiation à l’ergonomie vue par un médecin du travail. Après une présentation générale de la notion d’ergonomie avec ses divers aspects, de son histoire et de son inscription dans le temps, il est évoqué le rôle des acteurs de santé dans et hors entreprise, et développés les concepts d’accidents du travail et maladies professionnels au sein de la réflexion sur les risques professionnels. Puis sont étudiés succinctement le principe de la démarche ergonomique, d’étude de poste et d’analyse du travail (charges physiques et mentales – facteurs, …), de risque organisationnel. Concrètement, on aborde l’organisation spatiale du travail (dont l’anthropométrie), les activités de manutention, le bruit et les vibrations, la vision, le travail mental, le vieillissement et quelques notions de chronobiologie. A l’occasion d’une présentation plus pratique sur le travail sur écran sont par ailleurs évoqués les conditions de confort thermique.
MD4.3 : Les facteurs humains des accidents Intervenant : Denis Besnard (6h) Le facteur humain et les accidents (définition des systèmes complexes, puis étude des erreurs de mode, des conflits cognitifs et des accidents liés aux interfaces). L'ergonomie du risque (la perception des risques et les adaptations de procédures). Les mythes de la sécurité industrielle.
MD4.4 : Maîtrise collective des risques : le cas du nucléaire Intervenant : Geneviève Baumont (6h) Afin de poser le cadre de la maîtrise collective dans les installations nucléaires, ce cours pose l'organisation et les acteurs institutionnels de la sûreté nucléaire en précisant leurs rôles. Des rappels sur la nature des risques nucléaires permettent de présenter les concepts de défense en profondeur prévus pour la sûreté des installations, à la conception et les modifications, pour le fonctionnement, en cas de situation dégradée et lors de la gestion d'accident. Les scénarios d'accident sont explicités, les phénomènes d'irradiation et de contamination radioactive sont présentés ainsi que les grandes lignes de la gestion de crise nucléaires mises en œuvre pour permettre la radioprotection des personnes. En second lieu, l'importance des facteurs humains et organisationnels de la sûreté dans le fonctionnement quotidien des centrales nucléaires va être détaillée. En reprenant des enseignements des accidents de Three miles Island et de Tchernobyl, les principaux concepts de la fiabilité humaine sont posés. Un incident arrivé dans une centrale nucléaire sert d’illustration au modèle RECUPERARE utilisé à l'IRSN dans ce domaine. Méthode d’évaluation du module MD4 Examen en fin de cours et étude de cas.
MD5 : Gouvernance des risques et veille économique [ haut de page ]
MD5.1 : Création de valeur et opportunités dans l’incertain Intervenants : Michel Croizé et Marc lamort de Gail (36h) Le cours aborde une série de thèmes :
introduction à la maîtrise des risques et du couple risque-opportunité ; bases du calcul économique permettant de comparer risques et opportunités : bases comptables, actualisation et calculs de TRI, VAN (par demi-promo ;. obligations d’information par les sociétés, portant sur leurs risques et les process mis en œuvre pour réduire leur criticité ; contrôle des risques, interne et externe ; responsabilité pénale des dirigeants d’entreprise et autres personnes ayant autorité ; mais aussi des édiles, et notamment des maires ; la crise, son traitement, son coût, s’y préparer. Le processus de « risk assessment » : identification des risques, gravité, fréquence, criticité ; mise en place d’actions de prévention et de protection ; contrôle Le cours se poursuit par une série de monographies sur des risques majeurs: risques naturels, catastrophiques ; risques d’incendie, d’explosion, d’accidents ; risques achats et fournisseurs, notamment en cas de monosourcing (défaillance technique, déconfiture) ; risques de conception, (conformité au contrat, nocivité, responsabilité du fait des produits) ; risque client, risques de fabrication et logistiques ; risques pays (infrastructures, insolvabilité, instabilité politique) , délocalisations ; risques liés au patrimoine immatériel, aux systèmes d’information; risques liés aux fusions et acquisitions ; risques juridiques, fiscaux et douaniers ; risques liés aux réglementations évolutives ; risque d’interruption et risque de liquidité ; risques commerciaux ; risques financiers purs (de change, de taux, d’accès au crédit) ; malveillance interne ou externe, terrorisme.
MD5.2 : Les outils de la gestion des risques dans les projets Intervenant : Pierre-Yves Dumant (18h) Rappel des fondamentaux du travail en mode projet et corrélation avec différentes typologies de risques liés plus spécialement à ce mode de travail, et en fonction de l’étape du cycle de projet. Présentation des arbres projet PBS, WBS, OBS ; construction de matrices d’analyse des risques à l’aide de ce matériel. Utilisation des outils d’analyse qualitative : diagrammes d’affinités, Pareto, Ishikawa, … Utilisation des outils d’analyse quantitative : AMDE, AMDEC et dérivés pour analyser les produits, processus et ressources en jeu dans un projet
MD5.3 : La veille économique associée à la maîtrise des risques Intervenant : Claude Marty (15h) Objectifs : montrer aux étudiants en quoi la veille économique, étroitement associée à l’analyse et à la maîtrise des risques, constitue aujourd’hui un outil indispensable à l’entreprise pour assurer son développement et sa pérennité. Donner aux étudiants un complément de formation pratique dans un secteur que les Pouvoirs Publics jugent stratégique pour l’avenir de notre économie. Les étudiants, répartis en groupes de travail se verront confier une étude de cas dès la première séance. Il s’agira d’entreprises françaises traversant des difficultés ou qui risquent à terme, d’en rencontrer. L’objet étant d’appliquer le cours au cas qu’ils auront choisi. Ce cours est articulé en 3 parties :
Première partie : Le risk management, avec, en particulier, les différentes méthodes de terrain et leur flexibilité d’application, ainsi que l’aspect « organisationnel ». Applications prises dans l’actualité du moment. Deuxième partie : La veille économique. Elle s’imbrique dans la 1ère partie du cours avec, en particulier : la recherche des informations stratégiques (infos. « utiles » et infos. « critiques ») à partir de la « Boîte à outils de recherche de l’information » ; les différentes méthodes de terrain de Veille & leur flexibilité d’application ; l’intelligence éthique ; et enfin la fonction « Gestion du risque informationnel » & les méthodes utilisées. Les applications sont prises dans l’actualité du moment. Troisième partie : Le système associé « Risk Management & Business Intelligence ». Il s’agit ici d’appliquer les techniques vues dans les 1ère & 2ème parties, de les « croiser » et ensuite de les appliquer aux cas d’étude demandés. MD5.4 : Management de la continuité d’activité Intervenant : Paul Théron (12h) Les objectifs de ce cours sont de présenter les concepts et les démarches pratiques du management de la continuité d’activité et de proposer à chaque étudiant une première exprience pratique d’élaboration d’un plan de continuité d’activité. Le cours s’articule autour de quatre thèmes : analyse d’un cas réel et des enseignements à en tirer ; les obligations réglementaires et les normes ; démarche et méthodes pour l’élaboration d’un plan ; exercice pratique sur un cas industriel. Méthode d’évaluation du module MD5 Examen en fin de cours et étude de cas.
MD6 : Psychologie des risques et comportement des acteurs [ haut de page ]
MD6.1 : Introduction à la psychologie du risque Intervenant : Rémi Kouabenan (18h) Le cours a pour objectif de fournir aux étudiants des éléments permettant de :
Cerner comment les connaissances issues de la psychologie et de l’ergonomie cognitive peuvent éclairer les problèmes de sécurité et apporter des solutions Appréhender la place des représentations, des croyances et des attitudes dans l’interaction de l’homme avec le milieu à risques (rôle dans la survenue des accidents et dans l’adoption des comportements sûrs). Situer l’étude et la prévention accidents dans une perspective systémique et dynamique. S’appuyer sur les représentations et les croyances pour comprendre les comportements et les infléchir dans le sens d’une plus grande sécurité. Présenter deux voies complémentaires pour apporter des réponses au piétinement de la prévention et à l’indifférence vis-à-vis des campagnes de prévention : l’approche par l’explication « naïve » des accidents et par la perception des risques sont présentées comme deux approches complémentaires de la démarche technique de l’expert). MD6.2 : Analyse des processus psychosociologiques Intervenante : Maryline Specht (12h) L’objectif de cet enseignement est de donner à de futurs responsables des risques les connaissances théoriques et pratiques nécessaires à l’analyse des processus psychosociologiques en jeu dans les situations de risque et de crise. La population étudiée est aussi bien celle des victimes que celles des intervenants. Les compétences professionnelles développées à partir de ce savoir sont la prise en compte des réalités humaines et sociales dans la conception, l’accompagnement et l’évaluation, des modalités de prévention et de protection face aux risques et aux crises. Une attention particulière sera accordée à la rigueur scientifique et méthodologique de la démarche. Le cours présente les théories et modèles fondamentaux de la psychologie des risques : les concepts de risques, crises, dangers et événements redoutés seront interrogés sous l’angle des représentations sociales des risques, l’action risquée et les régulations collectives seront présentées sous l’angle de la construction sociale et culturelle des risques, seront également abordés les impacts des affects et émotions. La psychologie des crises sera abordée à travers la conduite d’analyse des processus psychologiques impliqués dans des situations de crises (Catastrophes technologiques et naturelles). L’articulation avec la gestion des risques et des crises s’effectue à partir d’une présentation des problématiques de la gouvernance des risques et des crises, de la règlementation, des modèles de management des risques, de l’organisation de la gestion de crise et de la communication et information auprès des populations.
MD6.3 : Perception des risques et amplification sociale Intervenant : Marc Poumadère (12h) L’objectif du cours est de montrer comment l’approche par la gouvernance des risques industriels permet de mettre en perspective et d’articuler différents éléments : les facteurs organisationnels, la culture des risques et de la sécurité, mais aussi sur les interactions entre l’entreprise et son environnement et notamment les parties prenantes qui le composent. Aussi une place égale est-elle accordée aux concepts, aux méthodes et à la mise en pratique. Un premier niveau d’analyse porte sur les obligations perçues en matière de sécurité. Si tout le monde reconnaît la nécessité d’éviter les accidents, les études de terrain montrent que les raisonnements et les références divergent rapidement et se traduisent par des orientations différentes, éventuellement contradictoires. La conformité au droit, l’intégrité des personnes, la maîtrise des coûts, l’obéissance et l’autoprotection, l’application des savoirs techniques et scientifiques, font ainsi partie des obligations qui vont fluctuer en fonction du contexte ou des événements pris en considération. Un autre modèle théorique étudié est celui de l’atténuation et amplification sociales des risques : différents mécanismes font que l’attention portée à un événement n’est pas toujours proportionnelle à son potentiel de risque. Le recours aux modèles théoriques s’accompagne de l’analyse d’études de cas. Les étudiants réalisent également des mesures des valeurs individuelles et organisationnelles pour définir a priori les caractéristiques d’enjeux tels que l’efficacité et l’inefficacité d’une intervention. Ces mesure peuvent ensuite être comparées aux évaluations a posteriori qu’ils réalisent lors de leur participation aux exercices et REX organisés dans le cadre de leur formation. La restitution des résultats et leur élaboration collective permettent de vérifier la pertinence des modèles utilisés ainsi que les modalités de leur appropriation par les étudiants.
MD6.4 : Représentations et comportements des acteurs face aux risques Intervenant : Cédric Denis-Rémis (18h) Cet enseignement est une confrontation de deux approches du risque : l'approche « objectiviste », développée par l'industrie et l'approche « subjectiviste », développée par les Sciences Humaines et Sociales (SHS). Une revue exhaustive des approches de l'objet « risque » en SHS (anthropologie, sociologie, psychologie sociale, psychologie cognitive, etc.) sera réalisée. Au cours de cet enseignement nous proposerons également une introduction à la modification comportementale. Comment amener les individus à produire des comportements sécuritaires ? Voici une question que tout manager d'entreprise ou acteur de campagne de prévention se pose un jour. Par une revue théorique des grands apports de la psychologie pour la modification comportementale (persuasion, engagement, soumission, etc.), nous verrons quelles sont les voies qui peuvent amener les individus à modifier leurs comportements en vue de réduire les risques.
MD6.5 : Gestion des crises Intervenant : Jean-Marie Jacques (12h) Le cours intègre d’ une part les dimensions cognitives et comportementale de l’étude des crises (perception, représentation, imagerie mentale,...) et d’autre part les théories de gestion (rationalité versus comportement stratégique). Dans cette perspective, les principaux axes abordés sont : le rôle des facteurs humains et organisationnels dans la gestion des risques et des crises technologiques et environnementales en particulier au travers des modèles des facteurs aggravants , des modèles de la contingence , ainsi que du modèle ‘ Structure , Relation , Sens’ . Les méthodes telle que la cartographie de l’ intersubjectivité des acteurs en situation de risque et de crise permettra d’ aborder plus spécifiquement le rôle de la coordination et de la communication. Le étudiants devront à la fin du cours être capables de situer les modèles vu en cours dans une typologie de modèles et être capables de poser un diagnostic et d’identifier les actions a prendre en présence de facteurs aggravants. Méthode d’évaluation : examen de contrôle en fin de cours et études de cas. Notation de la qualité des études de cas : richesse documentaire, pertinence du rapport, présentation.
MD7 : travaux dirigés sur le terrain [ haut de page ]
Ce module est composé de 7 sessions de deux jours (84h), destinées à mettre les étudiants en situation, afin de donner aux étudiants une bonne compréhension de la diversité des contextes dans lesquels ils auront à travailler. Au delà des 2 jours de présence effective, chaque immersion représente un important travail personnel et en groupe pour analyser les données collectées et réaliser les rapports et présentations qui leur sont demandés. Chacune de ces sessions de travail de terrain est organisée autour d’un thème, en partenariat avec une entreprise ou des services de l’état. Suivant les thèmes, les étudiants travaillent en groupe de taille variable : 4, 8 ou 16 (promotion entière) et se partagent les différentes activités nécessaires à la réalisation de la mission qui leur est confiée. Encadrement : il est assuré par des enseignants de l’équipe pédagogique. Evaluation : Chaque immersion donne lieu à une restitution et à une évaluation. La restitution est réalisée sous la forme d’un rapport de synthèse, sauf pour l’immersion consacrée à la formation, pour laquelle les étudiants doivent fournir une prestation d’enseignement. Chaque groupe doit indiquer quel étudiant a assuré quelle partie du travail, afin de pouvoir évaluer l’apport de chacun. L’évaluation est réalisée conjointement par les tuteurs de l’équipe pédagogique et par des représentants des partenaires associés, sur la base de la qualité de la réponse à la question posée et de la restitution fournie.
Immersion dans une entreprise de transport (en partenariat avec la RATP). Il s’agit ici de faire comprendre aux étudiants l’organisation de la maîtrise des risques dans un système industriel complexe, qui associe des technologies, des agents d’exploitation et d’entretien, des sous-traitants et des usagers. Les étudiants doivent d’une part analyser une situation accidentelle réelle et identifier ses causes techniques, humaines et organisationnelles, et d’autre part proposer des pistes d’améliorations. Immersion dans une entreprise industrielle (1/2). Il s’agit ici de répondre à un problème précis posé par un chef d’entreprise. Après une présentation du site industriel et du contexte du problème posé, les étudiants doivent recueillir les données du problème (données techniques, observation de processus ou d’activités et interviews d’acteurs), puis en faire l’analyse et proposer des pistes de solutions. Immersion dans une entreprise industrielle (2/2). Il s’agit ici d’observer et d’analyser les différents processus qui constituent une activité donnée de l’entreprise. Après une présentation du site industriel et du contexte du problème posé, les étudiants doivent identifier les processus, les observer (observation d’activités et interviews d’acteurs), puis en faire l’analyse et proposer des pistes de solutions. Immersion dans le grand public (en partenariat avec l’IRSN). Il s’agit ici de faire percevoir aux étudiants qu’il existe une grande variété dans les perceptions des risques au sein de la population, dont il faut tenir compte lorsque l’on doit gérer l’interface entre un système industriel dangereux et la population riveraine. Les étudiants reçoivent un cahier des charges qui décrit le thème d’enquête, à partir duquel ils doivent concevoir un questionnaire, l’appliquer sur un échantillon représentatif et en faire l’analyse. Ce travail est en relation avec le « baromètre annuel des risques » publié par l’IRSN. Immersion dans un lycée technique (1/2), en partenariat avec le lycée Vauquelin (Paris). Il s’agit ici de faire percevoir aux étudiants comment sont formés les futurs opérateurs de l’industrie chimique, et de contribuer à leur formation. Dans une première immersion, les étudiants doivent analyser les risques présents dans un lycée technique et les comportements des différents acteurs (enseignants, techniciens et élèves) face à ces risques, sur un thème précis (stockage et manipulation de produits dangereux par exemple). Ceci leur permet d’appréhender comment ces élèves perçoivent et gèrent les risques au quotidien et de proposer des pistes d’amélioration de la sécurité. Immersion dans un lycée technique (2/2). Il s’agit ici de contribuer à la formation des futurs opérateurs de l’industrie chimique. Les étudiants doivent se diviser en deux ou trois groupes et réaliser des cours d’introduction à la sécurité industrielle, adaptés au niveau des différentes classes du lycée (CAP, BEP et Bac Pro). Ils ont le choix du contenu et des méthodes pédagogiques pour leur cours. Ces cours sont évalués par les enseignants du lycée et du Mastère Spécialisé. L’objectif de cette immersion est de leur apprendre à enseigner la maîtrise des risques et à passer des messages de prévention et de précaution à des acteurs qu’ils retrouveront en entreprise. Immersion dans un exercice de crise (en partenariat avec les services de l’état). Il s’agit ici de les amener à observer de l’intérieur le fonctionnement des services de l’état (préfecture, sapeurs-pompiers, police, etc.) et les relations entre les institutions concernées et les industriels en situation de crise. Les étudiants utilisent des méthodes d’observation et d’analyse issues de recherches effectuées par les enseignants chercheurs du CRC. A partir des observations effectuées, ils doivent reconstruire le déroulement de la gestion de la situation, analyser les comportements des acteurs et identifier les forces et les faiblesses de l’organisation, pour proposer des pistes d’amélioration. Ces résultats sont utilisés pour le retour d’expérience officiel. MD8 : séminaires [ haut de page ]
MD8.1 : série de 3 séminaires de directeurs HSE (3x3h) Ces séminaires permettent aux étudiants de s’entretenir avec des directeurs HSE de grands groupes industriels, qui leur présentent les différentes facettes du métier de gestionnaire de risques et en particulier les stratégies et les modes de gouvernance de leur entreprise. Ces séminaires sont destinés à donner aux étudiants du recul par rapport à leur futur métier.
MD8.2 : série de 4 séminaires de spécialistes (4x6h) Ces séminaires sont consacrés à présenter les grandes lignes d’un thème d’activité que les étudiants pourront avoir à traiter dans l’avenir. Les thèmes et les intervenants de cette série de séminaires pourront évoluer en fonction de l’actualité. Les thèmes retenus dans un premier temps sont : La gestion des risques financiers (intervenant : Julien Ducloy), Ce cours présente les systèmes de gestion des risques opérationnels dans les services financiers - tels qu'ils ont été mis en place sous l'impulsion des réglementations Bâle 2, Solvency 2, CRBF 97-02, etc. Les principaux éléments de ces systèmes y sont présentés, en particulier la cartographie des risques, la collecte des incidents, l'analyse des scénarios majeurs, la quantification du risque opérationnel, etc. Ces systèmes de gestion sont fondés sur une approche générale de gestion des risques opérationnels et en conséquence peuvent être adaptés à toute activité autre que les services financiers. Ce cours est clôturé par une analyse, à titre illustratif, de l’affaire « Jérôme Kerviel » survenue début 2008 à la Société Générale L’intelligence économique (intervenant : Benjamin Pelletier). En mobilisant les savoirs de différentes disciplines des sciences humaines tout en restant concentré sur des enjeux proprement économiques, il s’agit de mettre à jour certains des mécanismes menant inévitablement les entreprises vers l’affrontement. L’originalité de l’approche consiste dans la reprise du modèle de René Girard de la rivalité mimétique pour le faire fonctionner dans la sphère économique. Les étudiants sont ainsi amenés à s’interroger sur les différents ressorts de la motivation chez l’individu avant de réaliser combien les entreprises, lancées dans une compétition effrénée où dominent le benchmark, l’alignement, l’imitation, la confusion des marques, entrent progressivement dans des rapports de rivalité mimétique pouvant mener à tous les excès pour acquérir à tout prix l’information stratégique La gestion des données spatialisées (intervenant : Aldo Napoli). Les risques industriels peuvent être induits par effet domino par d'autres types de risques. Par exemple une inondation dans une zone industrielle peut avoir des conséquences désastreuses sur une entreprise : accès à l’entreprise impossible, destruction des stockes, destruction de conteneurs de matières toxiques entraînant une pollution de l'environnement, etc. Ou inversement, un risque technologique peut provoquer d'autres risques à court, moyen ou long terme : pollution de l'environnement, érosion des sols, populations touchées par des maladies, etc. Il est donc nécessaire de sensibiliser le risk manager aux risques externes que l'entreprise peut provoquer ou subir. Ces risques qui sont d'ordre territorial peuvent être étudiés grâce à des méthodes, outils et modèles faisant appel au traitement de l'information géographique. Un séminaire d'une journée est consacré à l’étude des ces phénomènes spatiaux. La première demi-journée sera consacrée à la description d'un risque spatial. Quel sont les types de risques territoriaux que l’entreprise peut engendrer ou quels sont ceux qu’elle est susceptible de subir ? Comment aborder un problème d’ordre spatio-temporel ? La deuxième demi-journée sera consacrée aux outils, méthodes et modèles issues de la géomatique et permettant d’étudier un risque territorial. Une attention particulière sera portée sur les outils informatiques tels que les systèmes d’information géographique, les outils d’observation de la Terre et les bases de données géographiques. Enfin, une présentation des outils issus de la géomatique décisionnelle telle que les tableaux de bord spatiaux ou le SOLAP seront présentés afin de sensibiliser les risk manager aux outils d’aide à la décision manipulant des données spatio-temporelles et utiles à la gestion d’un risque territorial. Ce séminaire est : une sensibilisation aux risques territoriaux et aux méthodes de les aborder : mesure de l’exposition, étude de la vulnérabilité des territoires et de l’entreprise. Ce séminaire n’est pas : une étude exhaustive des risques territoriaux que peuvent engendrer une entreprise ou qu’elle pourrait subir ; une étude des différentes solutions permettant de réduire soit la vulnérabilité d’une entreprise face à un risque territorial soit la vulnérabilité d’un territoire face au risque industriel. Le fonctionnement des services publics de secours (intervenant : Bertrand Masselin). Objectif : après une présentation du contexte juridique des Sapeurs-Pompiers, le cours consiste à détailler les principaux textes législatifs et réglementaires qui encadrent la maîtrise des risques industriels, que ce soit du point de vue industriel, mais également de celui de la sécurité civile. Notions juridiques :
Généralités sur les différentes branches du droit Les responsabilités civile et pénale Le système juridictionnel français La personnalité juridique et l’action en justice Les sources du droit et la hiérarchie des normes La sécurité civile :
La politique de sécurité civile La loi de modernisation de la sécurité civile La planification ORSEC Les plans communaux de sauvegarde Les schémas d’analyse et de couverture des risques La sécurité industrielle :
La directive SEVESO II Les études de dangers La prévention des risques majeurs La loi relative à la prévention des risques Les PPI et les POI MD8.3 : visites de sites industriels (2x3h) Deux visites sont organisées en partenariat avec les entreprises associées au Mastère, au cours desquelles les responsables HSE présentent aux étudiants l’organisation de la sécurité dans leur entreprise
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