M A R I L Y N (Monroe ou Norma Becker : 1926-1962)
Elle est douce et gentille
Peut-être un peu naïve ?
Elle a un visage d'ange,
Des dents blanches éclatantes, Une mèche sur la joue
Des lèvres toutes rouges
Des cils qui illuminent
Deux prunelles qui scintillent.
Naturelle et si belle,
On aime "TOUT" en elle :
- Ses yeux pleins de lumière
- Sa taille si familière
- Ses longs cheveux bouclés
- ses rubans enlacés
- Son superbe décolleté
Plein de féminité...
Un soupçon exaltée
Elle n(e) fait rien à moitié :
Elle reçoit et elle donne,
Elle souffre et s'abandonne,
Elle aime passionnément,
C'est son tempérament,
Elle ne peut plus mentir !
Elle préfère mieux... partir !
Au sommet de la gloire
Sa peur de décevoir,
Un soir l'a emporté,
Et jamais réveillé.
Elle vieillira jamais, c'était là son destin,
D'aller un peu plus vite : où nous irons demain !
Les hommes sont égoïstes, ils font du mal aux fleurs
Parce qu'elles sont sans défense et rêvent de bonheur...
Parfois, on la revoit avec son air de fête
Sur une épaule amie, poser doucement sa tête
O feux de la caméra ! qui traversez le temps
Faites-nous revivre souvent " le meilleur des instants..."
(Jean Claude Brinette)